Adossée à la Montagne des Signaux dominant la capitale mauricienne, Marie Reine de la Paix protège Port Louis depuis 1940.
Cet édifice religieux dessiné par l’architecte Max Boullé, fut l’initiative de Monseigneur James Leen afin d’offrir aux Mauriciens un lieu de prière à la Vierge Marie au sortir de la seconde Guerre mondiale. La première pierre fut posée en 1940 et l’Autel dévoilé en août 1943.
Le sanctuaire religieux érigé en plein air présente une statue de Marbre blanc de 3 m de haut à l’effigie de la Vierge Marie, surplombant un grand autel face aux terrasses en gradins et jardins arborés. Le site spirituel permet d’accueillir de nombreux pèlerins valides et non valides lors des célébrations et fêtes catholiques.
Le 14 octobre 1989, le Pape Jean Paul II en visite à l’île Maurice est venu bénir la population mauricienne depuis l’Autel de Marie Reine de la Paix, commençant son homélie par cette prière :
« Chers Frères et Sœurs qui habitez l’Ile Maurice et en particulier cette ville de Port-Louis, je voudrais adorer Dieu en union avec vous ».
En savoir plus sur l’Homélie du Pape Jean Paul II à l’île Maurice
Visite culturelle Marie Reine de la Paix Port Louis
Longeant la route au pied de la Montagne des Signaux, les visiteurs seront charmés par la sérénité de ce lieu de culte exceptionnel. Situé sur les hauteurs de Port Louis, Marie Reine de la Paix dévoile une vue panoramique imprenable sur la capitale de Maurice. Durant l’été austral les Flamboyants rouge et orange en pleine floraison offre un charme supplémentaire au site.
La Tour Martello située à La Preneuse sur la côte ouest de l’île Maurice, entre Rivière Noire et la Pointe Tamarin, est l’une des 5 tours Martello édifiées à l’île Maurice par les anglais au 19e siècle pour protéger les côtes mauriciennes de toute attaque par la mer.
Appuyée par la Tour Martello de l’Harmonie située de l’autre côté de l’anse, les deux tours protégeaient conjointement toute la baie de Grande Rivière Noire grâce aux tirs croisés des deux canons.
Séduits par la stratégie de défense de la Tour corse située à Cap Mortella qu’ils n’avaient pu vaincre, les Anglais construisirent près de 200 tours de ce type dans le Monde, qu’ils baptisèrent Tour Martello. Une architecture spécifique, des murs robustes de 3,50 m, une terrasse de tir au canon et des réserves de munitions, vivres et système de récupération d’eau de pluie stockée dans un réservoir souterrain, faisaient de ces tours une véritable forteresse inviolable où plusieurs soldats pouvaient tenir un siège.
La Tour Martello de La Preneuse, classée au Patrimoine national fut entièrement restaurée en 1992 et aménagée en Musée en 2000. La visite guidée de la Tour ouvre une page de l’histoire de l’île Maurice offrant un aperçu de la vie des soldats à l’intérieur de leur forteresse et dévoilant l’ingéniosité britannique.
La Tour martello en chiffres
Hauteur de la Tour : 9 m
Diamètre : 9 m à la base / 8,50 m à la terrasse
epaisseur des murs : 3,50 m
Réservoir d’eau souterrain : 17 000 litres
Horaires du Musée Tour Martello
Du mardi au samedi de 9 h 30 à 17 h
Les dimanches et jours fériés uniquement le matin de 9 h 30 à 13 h 30
Tarifs
Adultes 70 rs (1,60 €) en semaine / 50 Rs (1,10 €) les week end
Enfants, étudiants, 3e âge : 20 Rs (0,50 €)
Accès gratuit pour les résidents mauriciens le dernier samedi de chaque mois.
Profitez d’une promenade côte ouest pour découvrir l’histoire de l’île Maurice et la richesse du Patrimoine national. Depuis la terrasse de la Tour, un très joli panorama sur la Baie de Grande Rivière Noire et la la Montagne du Morne.
Le Village de Pamplemousses est un lieu historique chargé d’une forte émotion, témoin de la période esclavagiste à l’île Maurice.
Le Bassin des Esclaves est le lieu où étaient entassés les esclaves afin d’être lavés puis huilés pour valoriser leur potentiel « marchand » avant d’être menés au Marché aux esclaves. Placés sur une dalle en pierre, ils étaient alors vendus aux colons pour les exploitations sucrières avoisinantes telles que Mon Goust, Mon Rocher, Beau Plan ou Bois Rouge. D’autres étaient affectés à la taille des pierres pour les murs et monuments d’époques ou encore pour travailler dans les jardins du Roy.
Le Cimetière des Noirs, quant à lui, n’était qu’une fausse commune où l’on jetait les corps des esclaves. A 500 mètres de là, le Cimetière des Blancs recevant une sépulture et une bénédiction religieuse. Oublié des historiens en l’absence d’écrits dans les manuscrits, le site du Cimetière des Noirs révèle en son sol les secrets cachés de l’histoire.
Depuis 2006 une statue en ferronnerie représentant un esclave enchaîné honore la mémoire des esclaves noirs. Une œuvre artistique dont le fer marque les lourdes chaînes des esclaves. Cette oeuvre a été réalisé par un artiste Mauricien demeurant à Rose Hill.
Enn Zistwar rakonte
Faute d’écrits, 300 ans d’histoire se transmettent de génération de génération afin de préserver la mémoire des lieux.
La journée commémorative de l’Abolition de l’Esclavage à Maurice, célébrée le 1er février de chaque année, est marquée depuis 2011 par des journées culturelles sur les traces de l’histoire organisées à l’initiative du Centre Nelson Mandela pour la Culture Africaine.
Le 1er Février, jour anniversaire de l’Abolition de l’Esclavage à l’île Maurice, des marches et rallye allant des sites historiques de Pamplemousses à celui du Morne Brabant, classé au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2008, permettent de respecter le devoir de mémoire que tous doivent aux esclaves oubliés dont le douloureux passé a contribué au développement de l’ile Maurice.
A ce jour, au Village de Pamplemousse, aucune plaque ne mentionne
les sites liés à l’histoire de l’Esclavage
requête du Centre Nelson Mandela de l’île Maurice, déposée auprès du National Heritage pour que les sites du Bassins des Esclaves,
Cimetière des Noirs, Marché aux Esclaves soient classés comme Patrimoine National.
Centre Nelson Mandela pour la Culture Africaine
La Tour Koenig, Pointe aux Sables, Ile Maurice
Au centre du village de Pamplemousses à droite de l’Eglise Saint François d’Assise qui fait face à la grille du Jardin de Pamplemousses, l’un des plus anciens cimetières de l’île Maurice datant de 1742, également appelé « le Cimetière des blancs » abrite les tombes de personnages ayant marqué l’histoire de Maurice et colons.
On y retrouve la tombe du Chevalier de Magon, ancien Gouverneur des Isles de France et de Bourbon décédé en 1778; la tombe d’Adrien d’Epinay ayant crée la Société des Arts et des Sciences de Maurice, décédé en 1839, classée patrimoine national en 1951.
Celle de la première femme indienne convertie au catholicisme qui avait eu alors droit à une sépulture chrétienne ou encore la célèbre Dame créole, muse de Charles Beaudelaire.
Plus loin, le tombe de l’Aumonier de Napoléon à Sainte Hélène puis celle d’un compagnon d’armes du célèbre Surcouf.
Les inscriptions gravées dans la pierre sont en vieux françois, mentionnant l’origine, les mentions spécifiques relatives à la profession occupée par le défunt ou encore un épitaphe poétique.
Il faut rendre hommage à M. Raymond Gouart, français d’origine alsacienne, homme passionné qui, depuis plus de 15 ans, assure bénévolement la restauration du Vieux cimetière de Pamplemousses avec l’autorisation de la Cure.
M. Raymond est au cimetière de Pamplemousses tous les matins de 8 h à 12 h et partage avec les visiteurs son intérêt et ses connaissance sur la richesse historique du Vieux cimetière. Il en connait les moindres recoins et détails, analyse et restaure les épitaphes gravés sur les tombes.
Volontaire et puriste, Raymond refuse toute participation financière pour la visite guidée du cimetière, mais ne disposant que de peu de moyens pour poursuivre la restauration, une seule requête si vous voulez l’aider : Passez à la quincaillerie du village ! Vous pourrez contribuer à l’achat de matériel : Pelle, pioche, désherbant, maillets de gravure, brouette, arrosoir, produits de nettoyage de la pierre…
Né à l’aube du 20e siècle, Sir Seewoosagur Ramgolam est le personnage le plus important de l’Histoire de l’île Maurice, surnommé « Le Père de la Nation ».
De retour à l’île Maurice après de brillantes études à l’étranger, il expose sa philosophie relative à la construction d’une Nation mauricienne indépendante
1940 marque le début de sa campagne pour
Le 22 août 1967, Sir Seewoosagur Ramgoolam présente à l’Assemblée la motion “to the desire of the people of Mauritius to accede to independence within the Commonwealth of Nations. It is at once the end of a journey and the beginning of another” et revendique le droit de vote et des reformes en terme de politique économique et sociale
Le 12 mars 1968 est célébrée l’Indépendance de l’île Maurice qui devient un pays démocratique Membre du Commonwealt sous le règne de la Reine Elisabeth II. Sir S. Ramgoolam occupe les fonctions de Premier Ministre de l’état indépendant de Maurice de 1968 à 1982.
En 1983, Sir Seewoosagur Ramgoolam devient alors Gouverneur de l’Ile Maurice en 1983 jusqu’à sa disparition en 1985.
Célèbre par son Jardin botanique, le Jardin de Pamplemousses, le charmant village de Pamplemousses, au Nord de l’île Maurice dévoile les traces de son passé et plusieurs sites chargés d’Histoire et légende.
En parcourant les rues et ruelles aux abords du Jardin, des maisons de style marquent la richesse de cet ancien quartier colonial.
Le village est accessible par l’autoroute, à mi chemin entre la capitale de l’île Port Louis et la station balnéaire du Nord Grand Baie.
Face à la Grille principale du Jardin de Pamplemousses, l’Eglise Saint François d’Assise construite en 1735 en l’honneur du Gouverneur de l’Isle de France François Mahé de Labourdonnais et des riches colons de l’époque.
Des amours de « Paul et Virginie » relatés dans l’œuvre poétique de Bernardin de Saint Pierre, subsiste une Statue des célèbres amoureux de Pamplemousses, dont la légende prétend qu’ils auraient été enterrée au pied d’un massif de Bambou dans la cour de l’Eglise de Pamplemousses où jadis ils venaient prier.
Sur la droite de l’Eglise, le Vieux Cimetière de Pamplemousses autrefois connu sous les nom de “Cimetière des Blancs” est l’un des plus anciens cimetières de de l’île Maurice. découvrir sur le lien ci dessus le passé historique et la restauration des tombes anciennes.
A l’angle, face à la grille principale une ancienne maison de maître de style colonial, acquise en 1743 par la Compagnie des Indes, pour servir de Presbytère. La cloche d’origine en fonte est toujours présente dans la cour. Plus de 250 ans après, le site abrite toujours un lieu d’accueil du Diocèse.
Des cases centenaires installées le long de la route principale servent toujours d’échoppes ou tabagie, préservant leur cachet authentique. Le petit marché refait à neuf ces dernières années présente des produits typiques du poulet sur patte à l’ourite séchée et ces métiers anciens ou nouvelle génération, du vendeur de « Glaçon râpé » au vendeur de chemise installé au coin d’un champs de cannes à sucre.
Pamplemousses est entouré d’une part par la forêt, de l’autre par les champs de cannes d’anciennes plantations. Empruntant le chemin de La Nicolière, se dessine un magnifique panorama sur les montagnes du Pouce et du Peter Both. La région très verdoyante est propice à la culture potagère et aux plantations d’ananas, Zanana en créol. Depuis les hauteurs, un coucher de soleil exceptionnel sur tout le littoral Nord Ouest.
Le Village de Pamplemousses abrite également une page importante de l’Histoire de l’île Maurice, rarement mentionnée dans les guides touristiques car ces lieux sacrés ne sont, jusqu’alors, pas reconnu comme Heritage National aux seuls faits qu’il n’existe pas ou très peu de traces écrites. Nous vous invitons à consulter l’article consacré au triste passé lié à l’histoire de l’esclavage à l’île Maurice : Le Bassin des Esclaves, le Marché des Esclaves et le Cimetière des Noirs.
Abercrombie une page d’histoire
Le Tourisme culturel à l’île Maurice attire peu à peu les visiteurs curieux de découvrir l’histoire de cette île de l’océan Indien qui, malgré ses 4 siècles d’histoire a connu l’influence hollandaise, puis française avant d’être conquise par les anglais en 1810 pour devenir le 12 mars 1968 la République indépendante de Maurice.
Nous sommes en 1803, Le Général Charles Decaen est nommé Gouverneur de l’Isle de France par Napoléon Bonaparte. La capitale devient alors Port Napoléon tandis que Mahébourg prend le nom de Port Impérial.
A partir de 1806 les Anglais se déploient dans l’océan Indien, la puissante flotte britannique établit un blocus autour des îles. En 1809 ils prennent Rodrigues, puis la Réunion en juillet 1810.
En août 1810, l’offensive anglaise tente de s’emparer de l’Isle de France, en attaquant le Sud de l’île par Bel Ombre, puis par le Sud Est à Vieux Grand Port. Malgré la supériorité numérique de la flotte britannique, l’issue de la Bataille de Vieux Grand Port est une victoire française, seule bataille navale remportée par Napoléon Bonaparte.
Poste de Police Abercrombie – Quartier de Sainte Croix – Port Louis
Repliés sur l’île Rodrigues, les anglais préparent une nouvelle offensive. Le 3 décembre 1810, 70 navires et plus de 10000 hommes débarquent sur l’îsle de France par la côte Nord, à Cap Malheureux. L’Armée Britannique sous le commandement du Général John Abercrombie remporte la victoire et s’empare de l’île.
L’actuel bâtiment hébergeant le poste de Police d’Abercrombie, est le lieu historique où le Général Decaen signa l’Acte de Reddition face à Sir John Abercrombie. L’îsle de France reprend alors le nom de Mauritius, Port Napoléon celui de Port Louis et Port Impérial le nom de Mahébourg.
Notre avis
Point de départ idéal pour une visite de la Capitale mauricienne.
A découvrir à Proximité : le tombeau du Bienheureux Père Laval, le Temple Kaylasson
Dominant le Champs de Mars situé sur les hauteurs de la capitale mauricienne, Port Louis, le Tombeau de Malartic honore la mémoire du Gouverneur français Anne Joseph Hippolyte de Maurès, Comte de Malartic de 1792 à 1800. Personnage controversé ayant marqué l’Histoire de l’île Maurice.
Ce monument fut érigé par l’Assemblée coloniale française en 1801 et achevé 46 ans plus tard par les anglais porte une épitaphe en latin illustrée ci-dessous « Comte de Malartic Tribun et Militaire »
Anne Joseph Hippolyte de Maurès – Comte de Malartic
Né à Montauban (France) le 3 juillet 1730
Mort à Port Louis (Ile Maurice anciennement Isle de France) le 28 juillet 1800
Fort de son expérience militaire au Canada en qualité d’aide de camp de Montcalm de 1755 à 1757 auprès duquel il assista à la reddition du Fort St Georges puis participa à la distribution de vivre auprès de la population et des soldats jusqu’alors soumis au rationnement. Puis aux Antilles de 1768 à 1770 où il fut successivement Gouverneur de Guadeloupe, puis envoyé en Martinique puis à d’Ile d’Haïti d’où il revient Maréchal de camp.
Deux ans après la Révolution Française, Malartic devient Lieutenant général des armées en 1792 puis Gouverneur général d’Isle de France (Ile Maurice) le 17 juin.
Malartic fut admiré par l’ensemble de la population, d’une part, pour avoir enrayé les épidémies de véroles en ordonnant la vaccination de toute personne n’ayant pas encore contracté la maladie. D’autre part en luttant activement contre la famine qui sévissait sur l’île grâce à une stratégie tactique étonnante.
Alors que pirates et corsaires pillaient les navires anglais dans l’océan Indien, Malartic conclut des accords avec les Corsaires, dont le célèbre Robert Surcouf *, assurant ainsi la protection de l’île contre les britanniques et parallèlement l’approvisionnement de l’île en denrées alimentaires.
En revanche, en 1796, il soutient les Colons français détenant le pouvoir exécutif et participe au maintient de l’esclavagisme en refusant d’appliquer le Décret d’abolition de l’esclavage ordonné par le Directoire. A cet effet, il va jusqu’à renvoyer les Agents du Directoire missionnés pour veiller à l’application du Décret à l’île Maurice.
Son acte lui confère le respect des Colons blancs mais condamne ainsi 80 000 Esclaves Noirs à demeurer en servitude.
Dès lors, on comprend fort bien que Malartic a incontestablement marqué l’Histoire de l’île Maurice mais laissa malgré tout un goût amer derrière lui.
* Rectificatif 11/2016 : Un grand merci à M. Michel Legat pour une correction importante : Robert Surcouf, Corsaire et non pirate !
Nous sommes à Port Louis, capitale de l’île Maurice au début du 19e siècle. La colonie française de l’Isle de France administrant l’île depuis 1715 capitule face aux Anglais en 1810.
Sir Robert Farquhar, premier Gouverneur général des Mascareignes, transfère alors sa résidence de l’île Bourbon à l’île Maurice. Désormais sous domination anglaise, il est capital pour la prospérité de l’île que colons français et britanniques parviennent à collaborer.
Premier Gouverneur de l’île Maurice
Sir Robert Farquhar soutient alors l’initiative du Colonel Edward Alured Draper d’organiser un évènement fédérateur par le biais de courses de chevaux. En 1812 le Colonel Draper fonde alors le Mauritius Turf Club et crée le premier hippodrome de l’hémisphère sud, le Champs de Mars, qui sera inauguré le 25 juin 1812. Au centre du Champs de Mars, le tombeau du très controversé Conte de Malartic.
Niché au pied des montagnes entourant la capitale, le Champs de Mars offre son plus beau panorama depuis les remparts de la Citadelle.
Depuis 200 ans, les courses de chevaux sont l’une des activités sportives les plus appréciées par la population mauricienne. Durant la saison des courses, du dernier week end de mars jusqu’au 1er week end de décembre, près de 20 000 personnes se rendent à l’hippodrome du Champs de Mars pour assister aux courses dans une ambiance pittoresque, bruyante et animée autour de Bookmaker et marchands ambulants.
Dominant le Champs de Mars, le Mauritius Turf Club accueille également les passionnés en loges prestigieuses pour une journée courses accompagnée de services traiteurs et rencontres avec les propriétaires d’écuries et jockeys.
Nous vous invitons à consulter le site du Mauritius Turf Club pour en savoir plus sur le calendrier des courses et les grands prix classiques tels que le Maiden, la Duchess of York Cup, le Duke of York cup, le Barbé Cup….
Les Paris à l’île Maurice
Les paris se font traditionnellement auprès des bookmakers officiels au Champs de Mars mais aussi un peu partout dans l’île dans les bureaux de jeux aux noms et slogans typiques, mais aussi par téléphone ou par SMS.
Durant la saison des courses, que vous soyez au bord de la plage ou dans un bus, vous verrez fréquemment des mauriciens concentrés sur la lecture des pronostiques ou entendrez souvent l’interrogation la plus courante « Tuyau ? ». Aux heures des courses, boutiques, taxi, petits restaurants sont branchés sur la radio locale ou suivent en direct à la télévision les différentes courses.
200 ans zistwar
Le Champs de Mars, le Mauritius Turf Club les courses hippiques à l’île Maurice ont fêté leur bicentenaire en 2012.
Le Champs de Mars de Port Louis a ainsi traversé 200 ans d’histoire, témoin de la réunification des colons français et anglais à partir de 1812 autour d’un phénomène ludique.
Témoin de la célébration officielle de l’Indépendance de l’ïleMaurice, le 12 mars 1968, sous la bienveillance de Sir Seewoosagur Ramgoolam, Père de la Nation.
Témoin en 2008 de la commémoration des 40 ans d’Indépendance.